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Une image seule ne suffit pas...
9 août 2015

Conditionnel

panoskye_web

On prendrait notre temps pour aller travailler
On irait travailler sans y être obligé
Pas besoin d’HLM, de voiture, de télé
Peut-être même qu’on irait plus jamais travailler ?
Les enfants qui joueraient au beau milieu du pré
Ne s’raient pas à Durand, pas gradé, pas curé
Ils auraient pour parents une grande communauté
De gens qui s’raient restés, eux aussi des enfants.
On prendrait les guitares, d’autres iraient se coucher
La fête finirait tard sans qu’on soit dérangé
Par des gens qui viendraient, armés, assermentés
Par des chefs ou des lois, qu’on aurait oublié.
On s’rait pas d’un pays, on s’rait pas les plus fort
On aim’rait tant la vie, qu’on chang’rait de décor
Les fleurs ont envahi nos monuments aux morts
Une autre mélodie qui vibre dans nos corps
Ces phrases que l’on sème au gré d’une chanson
Deviennent des rengaines qui virent et tournent en rond
Je voudrais que tu m’aimes dans un autre monde
Où l’on pourrait s’aimer aux quatre coins du monde
Peut-être qu’on irait plus jamais travailler
Les enfants qui joueraient au beau milieu du pré
On prendrait les guitares d’autres iraient se coucher
La fête finirait tard, tous les soirs de l’année.

On prendrait notre temps pour aller travailler
On irait travailler sans y être obligé
Pas besoin d’HLM, de voiture, de télé
Peut-être même qu’on irait plus jamais travailler ?
Les enfants qui joueraient au beau milieu du pré
Ne s’raient pas à Durand, pas gradé, pas curé
Ils auraient pour parents une grande communauté
De gens qui s’raient restés, eux aussi des enfants.
On prendrait les guitares, d’autres iraient se coucher
La fête finirait tard sans qu’on soit dérangé
Par des gens qui viendraient, armés, assermentés
Par des chefs ou des lois, qu’on aurait oubliés.
On s’rait pas d’un pays, on s’rait pas les plus fort
On aim’rait tant la vie, qu’on chang’rait de décor
Les fleurs ont envahi nos monuments aux morts
Une autre mélodie qui vibre dans nos corps
Ces phrases que l’on sème au gré d’une chanson
Deviennent des rengaines qui virent et tournent en rond
Je voudrais que tu m’aimes dans un autre monde
Où l’on pourrait s’aimer aux quatre coins du monde
Peut-être qu’on irait plus jamais travailler
Les enfants qui joueraient au beau milieu du pré
On prendrait les guitares d’autres iraient se coucher
La fête finirait tard, tous les soirs de l’année.

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Commentaires
T
Utopisme.... Très bel ensemble !
Répondre
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